Cet être là est parfois
attendrissant ou provoquant, seul ou en meute, sur deux ou quatre paluches. Il
fait le fier, perché sur sa benne à ordures, savourant un putride et délicieux
repas que l'Homme a parachuté aux détritus. Là où la forêt offre un espace
fourmillant d'âmes, de mouvements et de proies, il chalouperait habituellement
de branches en branches, jouant avec ses congénères. Loin derrière lui, ce
comportement "VRAI" est devenu primitif à ses yeux. Maintenant, il
déambule derrière l'évolution humaine.
Le singe Mcleod |